Statistiques :
- 7 copies rendues pour 20 présents en cours (25 inscrits au total), soit 35 % de participants à un DM non noté.
Traduction corrigée :
(/10) = note la plus basse : 3,5 / note la plus haute : 7,5 / moyenne : 5,6
I Ce jour-là, de bon matin, au point du jour,
Je chevauchais ma mule qui allait à vive allure.
Je découvris une bergère avenante et belle ;
Elle allait entre ses agneaux en exprimant sa joie.
II La bergère me plût beaucoup,
Même si je ne savais pas de qui elle était née,
Ni à quelle famille elle était apparentée ;
Je n’avais jamais vu de mes yeux de si bien née.
III. « Bergère, bergère,
Voit la saison qui se renouvelle,
Que reverdissent les vergers et la végétation :
C’est un grand plaisir pour un jeune homme et une jeune fille. »
IV. « Chevalier, cela m’est très agréable (peu me chaut OK)
Que reverdissent les prés ;
Si mes agneaux ont de quoi paître,
J’irai m’endormir paisiblement sous l’arbrisseau. »
V. « Bergère, souffrez donc
Que nous dormions côte à côte,
Laissez vos agneaux paitre en bas des prés ;
Vous n’en aurez aucun dommage et n’en perdrez aucun. »